
Qu’est-ce qu’un design system ?
Un design system est un ensemble structuré de composants, règles et lignes directrices permettant de créer et maintenir une identité visuelle cohérente sur l’ensemble d’un site web, d’une application ou d’une suite de produits digitaux. Il définit les couleurs, typographies, icônes, boutons, formulaires et autres éléments graphiques, ainsi que leurs interactions et comportements.
L’objectif est de standardiser les éléments de design pour gagner en efficacité, assurer l’homogénéité visuelle et faciliter la collaboration entre designers, développeurs et chefs de projet.
Comment est construit un design system ?
Un design system repose sur plusieurs piliers :
- Bibliothèque de composants : boutons, formulaires, cartes, menus, etc., réutilisables à l’infini.
- Guidelines de style : couleurs, typographies, espacements, iconographie, ton de voix.
- Règles d’accessibilité et d’interactions : respect des bonnes pratiques UX/UI et des standards d’accessibilité.
- Documentation : fiches techniques et instructions pour l’intégration et l’utilisation des composants par les équipes.
Grâce à cette organisation, chaque élément visuel ou fonctionnel peut être utilisé de manière cohérente sur toutes les interfaces d’une marque.
Quels sont les avantages d’un design system ?
- Cohérence visuelle et expérience utilisateur homogène : tous les supports suivent les mêmes standards graphiques et fonctionnels.
- Gain de temps et productivité : designers et développeurs n’ont pas à recréer chaque élément à chaque projet.
- Facilitation de la collaboration : le design system sert de référence unique pour toutes les équipes.
- Évolutivité : chaque ajout ou mise à jour peut être appliqué facilement et de façon centralisée, sans risque d’incohérence.
- Optimisation SEO indirecte : un design cohérent améliore l’expérience utilisateur (UX), réduit le taux de rebond et favorise un temps de visite plus long, des facteurs pris en compte par Google.
Comment intégrer un design system dans vos projets web ?
Chez Propulse, nous construisons des design systems adaptés à vos besoins et à votre identité de marque. Nous documentons chaque composant pour que vos équipes puissent les réutiliser facilement et garantir la cohérence graphique sur tous vos supports digitaux, tout en optimisant la performance et la navigabilité pour les utilisateurs et pour le référencement. Consultez-nous !

Quel est le rôle du SEA ?
Le SEA permet à un site de capter un trafic qualifié en investissant dans la publicité. Ses principaux objectifs sont :
- générer rapidement des visites sur des pages stratégiques en fonction de mots-clés précis
- accroître la visibilité d’une marque sur des termes concurrentiels
- promouvoir des offres ou événements de manière ciblée et mesurable
- convertir des prospects en leads ou clients grâce à des annonces pertinentes et des landing pages optimisées.
En d’autres termes, le SEA permet de toucher les internautes au moment exact où ils recherchent un produit ou service, via des annonces adaptées à leurs besoins.
Qu’est-ce qu’une bonne stratégie SEA ?
Une stratégie SEA efficace repose sur plusieurs piliers :
- La sélection des mots-clés
Identifier les requêtes les plus pertinentes, équilibrant volume de recherche et intention commerciale, pour toucher les bonnes audiences. - La création d’annonces impactantes
Rédiger des textes attractifs, clairs et engageants, et créer des extensions d’annonces (liens annexes, call-to-action, promotions…) pour maximiser le taux de clic (CTR). - L’optimisation des landing pages
Les pages de destination doivent être cohérentes avec les annonces, rapides à charger et orientées conversion. - Le ciblage et le paramétrage
Définir la zone géographique, les horaires, les types d’audience, les appareils, et ajuster les enchères selon la performance. - Le suivi et l’optimisation continue
Analyser les performances via Google Ads, Analytics ou d’autres outils pour ajuster les mots-clés, les annonces, les enchères et maximiser le retour sur investissement (ROAS).
Comment mettre en place une stratégie SEA pertinente ?
- Définir vos objectifs : notoriété, génération de leads, ventes en ligne…
- Sélectionner vos mots-clés et votre budget : analyse de la concurrence, pertinence et coût par clic.
- Créer vos annonces et landing pages : messages clairs et ciblés pour inciter au clic et à la conversion.
- Lancer vos campagnes : en définissant les paramètres de ciblage et d’enchères.
- Suivre et optimiser : ajuster régulièrement les campagnes en fonction des résultats pour maximiser l’efficacité.
Vous souhaitez générer du trafic qualifié rapidement et booster vos conversions ? Nos experts SEA vous accompagnent pour définir et piloter vos campagnes. Prenez contact !

Qu’est-ce qu’un backlink ?
Un backlink, ou lien entrant, est un lien hypertexte pointant depuis un site externe vers votre site web. Il s’agit d’une recommandation implicite : lorsqu’un autre site renvoie vers votre contenu, il indique à la fois aux internautes et aux moteurs de recherche que votre site est pertinent et digne de confiance.
Les backlinks sont l’un des principaux critères utilisés par Google pour déterminer l’autorité d’un site et son positionnement dans les résultats de recherche. Plus un site reçoit de backlinks de qualité provenant de sources fiables, plus sa crédibilité et sa visibilité sur les moteurs de recherche augmentent.
Comment est construit un backlink ?
Un backlink est constitué d’un lien HTML inséré sur un site tiers. Il comporte généralement :
- L’URL cible : l’adresse de la page vers laquelle le lien pointe.
- Le texte d’ancrage (anchor text) : le mot ou groupe de mots cliquable(s) visible(s) par l’utilisateur.
- Le contexte : le contenu autour du lien, qui influence sa pertinence pour le référencement.
Les backlinks peuvent être naturels, lorsque d’autres sites mentionnent spontanément votre contenu, ou obtenus via des partenariats ou des échanges de liens.
Quels types de backlinks existent ?
Il existe plusieurs types de backlinks, chacun ayant un impact différent sur le SEO :
- Do-follow : le lien transmet de l’autorité SEO à votre site, renforçant votre positionnement.
- No-follow : le lien ne transmet pas directement de SEO, mais peut générer du trafic et de la visibilité.
- Liens contextuels : insérés directement dans le contenu d’un article, ils sont considérés comme plus pertinents par Google.
- Liens depuis des annuaires ou blogs : moins puissants individuellement, mais utiles dans une stratégie globale.
Comment obtenir des backlinks ?
Plusieurs méthodes permettent de générer des backlinks de qualité :
- Création de contenus attractifs et partageables : articles, infographies, études de cas ou guides
- Partenariats avec d’autres sites ou blogs : mentions dans des articles invités ou communiqués de presse
- Inscription sur des annuaires professionnels ou thématiques
- Relations presse et influenceurs : couverture médiatique et publications externes.
Quels sont les avantages des backlinks ?
Les backlinks présentent plusieurs bénéfices pour un site web :
- Amélioration du référencement naturel : chaque backlink de qualité renforce l’autorité et la crédibilité de votre site auprès des moteurs de recherche.
- Augmentation du trafic qualifié : les visiteurs cliquent sur le lien pour accéder à votre site depuis d’autres sources.
- Renforcement de la notoriété de la marque : être cité par d’autres sites positionne votre entreprise comme une référence dans son domaine.
En résumé, intégrer et suivre une stratégie de backlinks est un levier incontournable pour améliorer la visibilité d’un site, générer du trafic et asseoir l’autorité de votre marque sur le web.

Qu’est-ce que le ROI en marketing digital ?
Le ROI, ou Return on Investment, se traduit en français par Retour sur Investissement. Il s’agit d’un indicateur financier qui permet de mesurer le gain ou la perte générée par une action marketing par rapport à son coût.
Dans le domaine du digital, le ROI est un outil essentiel pour évaluer la rentabilité d’une campagne ou d’un projet (publicité en ligne, refonte de site web, stratégie SEO, etc.).
Comment calculer le ROI ?
La formule de base du ROI est la suivante :
ROI = (Gain – Coût) ÷ Coût × 100
Par exemple, si une campagne Google Ads a coûté 500 € et a généré 1 500 € de chiffre d’affaires, alors :
(1500 – 500) ÷ 500 × 100 = 200 %
→ Cela signifie que pour 1 € investi, 2 € de bénéfice ont été réalisés.
Pourquoi le ROI est-il important ?
Le ROI permet de :
- Mesurer l’efficacité réelle d’un investissement marketing
- Aider à la prise de décision, en identifiant les actions rentables
- Ajuster les budgets pour maximiser le retour
- Convaincre les parties prenantes internes (direction, finance…) de l’intérêt d’un projet.
Quels sont les limites du ROI ?
Même s’il est incontournable, le ROI ne suffit pas toujours à évaluer la performance globale. Certaines actions ont des effets indirects ou à long terme difficiles à quantifier (ex. : notoriété, fidélisation, image de marque).
Dans ces cas, il peut être utile de le compléter avec d’autres indicateurs (KPI qualitatifs ou quantitatifs).
ROI et marketing digital : quels outils utiliser ?
Pour calculer et suivre le ROI, il est recommandé d’utiliser des outils tels que :
- Google Analytics
- Tableaux de bord de campagnes (Meta Ads, Google Ads, etc.)
- CRM ou ERP, pour relier les ventes aux actions marketing.

Qu’est-ce qu’un KPI en marketing digital ?
Le terme KPI est l’acronyme de Key Performance Indicator, que l’on traduit en français par Indicateur Clé de Performance. Il s’agit d’un outil de mesure utilisé pour évaluer l’efficacité d’une action ou d’une stratégie.
Dans le cadre du marketing digital, les KPI permettent de suivre des données précises pour vérifier si les objectifs fixés sont atteints. Ils jouent un rôle central dans l’analyse de performance, la prise de décision et l’optimisation des campagnes.
À quoi servent les KPI ?
Les KPI sont utilisés pour :
- Mesurer l’impact d’une action ou d’un canal (réseaux sociaux, emailing, SEO, etc.)
- Comparer les résultats à des objectifs prédéfinis
- Optimiser les budgets en fonction de ce qui fonctionne ou non
- Piloter une stratégie digitale de manière objective et factuelle
Exemples de KPI en marketing digital
Les KPI peuvent varier selon les objectifs d’une entreprise. Voici quelques exemples :
Pour un site web :
- Le nombre de visiteurs uniques
- Le taux de rebond
- Le temps moyen passé sur une page
- Le nombre de conversions (achats, formulaires envoyés…)
- Pour une campagne emailing :
- Le taux d’ouverture
- Le taux de clics
- Le taux de désinscription
Pour les réseaux sociaux :
- Le taux d’engagement
- Le nombre d’abonnés gagnés
- Le nombre d’interactions (likes, partages, commentaires)
Comment choisir ses KPI ?
Un bon KPI doit être :
- Spécifique à un objectif clair
- Mesurable avec des outils fiables (Google Analytics, Meta Ads Manager, etc.)
- Atteignable selon les moyens disponibles
- Pertinent pour la stratégie globale
- Temporellement défini, c’est-à-dire mesuré sur une période donnée.
On parle souvent de méthode SMART pour choisir ses KPI
Pourquoi les KPI sont-ils essentiels en SEO ?
En référencement naturel, les KPI permettent d’évaluer l’évolution du trafic organique, le positionnement des mots-clés, le nombre de pages indexées, le taux de clics (CTR) sur les résultats Google.
Et surtout, ils permettent d’ajuster les actions pour améliorer la visibilité et la performance du site.

Qu’est-ce que l’hébergement web ?
Lorsqu’un site internet est créé, il doit être accessible à tout moment depuis un navigateur. Pour cela, les fichiers qui le composent (pages, images, vidéos, base de données…) doivent être stockés sur un serveur connecté en permanence à Internet. C’est ce qu’on appelle l’hébergement web.
Un hébergement web est donc un service qui permet de rendre un site web disponible en ligne, via une infrastructure sécurisée et performante.
Quels sont les types d’hébergement ?
Il existe plusieurs types d’hébergement, adaptés aux besoins et au budget de chaque projet :
- Hébergement mutualisé : plusieurs sites sont hébergés sur un même serveur. C’est une solution économique, idéale pour les petits sites à faible trafic.
- Hébergement dédié : un serveur physique est entièrement réservé à un seul site. Il offre de meilleures performances et une grande liberté de configuration.
- Hébergement VPS (Virtual Private Server) : une alternative intermédiaire entre mutualisé et dédié. Le serveur est divisé en plusieurs machines virtuelles indépendantes.
- Hébergement cloud : les données sont hébergées sur plusieurs serveurs en réseau. Cela permet une haute disponibilité et une évolutivité des ressources à la demande.
Quels sont les critères pour choisir un hébergement web ?
Le choix d’un hébergement dépend de plusieurs facteurs :
- Le trafic attendu sur le site
- Les performances nécessaires (vitesse de chargement, sécurité, etc.)
- Le type de site (vitrine, e-commerce, application web…)
- Le budget disponible
- Le niveau d’assistance technique souhaité
Un bon hébergement est essentiel pour garantir la disponibilité, la rapidité et la sécurité d’un site web. Ces éléments jouent également un rôle dans le référencement naturel (SEO).
Qui fournit l’hébergement web ?
De nombreux prestataires proposent des services d’hébergement : Infomaniak (dont Propulse est partenaire), OVH, IONOS, o2switch, etc. Certaines plateformes comme Squarespace ou Shopify intègrent l’hébergement directement dans leur offre.
Dans le cadre d’un projet géré par une agence web, c’est souvent l’agence qui conseille ou prend en charge l’hébergement adapté au projet.

Qu’est-ce que le SEO
Le SEO, acronyme de Search Engine Optimization, ou référencement naturel, désigne l’ensemble des techniques visant à optimiser la visibilité d’un site web dans les pages de résultats des moteurs de recherche, principalement Google.
Contrairement au SEA (Search Engine Advertising), qui repose sur de la publicité payante (Google Ads), le SEO repose sur des optimisations organiques, pensées sur le long terme. Il constitue un levier stratégique fondamental dans toute stratégie d’inbound marketing.
Quel est le rôle du SEO ?
Le SEO permet à un site d’attirer un trafic qualifié, sans recourir à des campagnes publicitaires. Il répond à plusieurs objectifs :
- Générer un trafic pérenne en améliorant le positionnement sur des requêtes stratégiques (mots-clés).
- Renforcer la notoriété et la légitimité d’une marque via un bon positionnement sur son cœur de métier.
- Optimiser l’expérience utilisateur à travers des contenus structurés, un temps de chargement rapide, une navigation fluide.
- Convertir les visiteurs en leads ou en clients en les attirant au bon moment de leur parcours d’achat.
En d’autres termes, le SEO permet de faire venir naturellement à soi les internautes, à condition de bien connaître leurs intentions de recherche.
Qu’est-ce qu’une bonne stratégie SEO ?
Une stratégie SEO efficace repose sur trois piliers fondamentaux, complémentaires et indissociables :
· Le SEO technique
C’est le socle de toute stratégie SEO. Il s’agit d’optimiser la structure du site pour faciliter l’exploration (crawl) et l’indexation par les robots des moteurs de recherche. Cela comprend notamment :
- Le temps de chargement des pages (Core Web Vitals)
- L’optimisation mobile (responsive design)
- La structure des URLs et du maillage interne
- L’usage correct des balises (title, Hn, alt, etc.)
- Le fichier robots.txt et le sitemap.xml.
· Le contenu (ou content SEO)
Le contenu est le carburant du SEO. Il doit répondre de manière pertinente et exhaustive aux intentions de recherche des utilisateurs.
- Production régulière de contenus de qualité (pages, articles, FAQ, etc.). Propulse vous donne quelques tips sur la rédaction optimisée dans cet article !
- Optimisation sémantique autour des mots-clés ciblés
- Travail sur la structure des textes et des balises
- Mise en place d’un cocon sémantique ou d’une stratégie de contenus piliers/satellites.
· La popularité (ou netlinking)
C’est le critère d’autorité du site. Google accorde de l’importance aux liens entrants (backlinks) provenant de sites tiers, considérés comme des “votes de confiance”.
Comment mettre en place une stratégie SEO pertinente ?
Avant toute action, il est essentiel de réaliser un audit SEO complet du site (technique, contenu, popularité). Ensuite, on peut structurer la démarche en plusieurs étapes :
- Définition des objectifs : visibilité locale, génération de leads, e-commerce…
- Recherche et ciblage de mots-clés : analyse de la concurrence, intention de recherche, volume vs pertinence.
- Optimisation technique : mise à niveau des performances et de la structure du site.
- Production et optimisation de contenus : blog, landing pages, fiches produits…
- Netlinking : stratégie de relations presse digitale, partenariats, annuaires spécialisés…
- Suivi et ajustements : à l’aide d’outils comme Google Search Console, Analytics, SEMrush…
Vous avez envie de vous lancer mais ne savez pas par où commencer ? Consulter nos experts !

Qu’est-ce qu’une charte graphique ?
Lors de la création de votre entreprise ou de votre marque, il est essentiel qu’elle « existe graphiquement », afin que vous soyez reconnaissable par vos prospects, clients, et même vos concurrents. La charte graphique va permettre de définir les codes de votre identité visuelle. Elle s’appliquera par la suite à l’ensemble de vos supports de communication.
Quel est le rôle d’une charte graphique ?
Une charte graphique a plusieurs objectifs :
- Le premier est de permettre à la marque ou à l’entreprise d’être aisément identifiable par son image et sa personnalité,
- De garantir une cohérence graphique sur tous les supports de communication,
- D’implanter l’image de marque sur le long terme,
- De réussir à trouver une place dans l’esprit du consommateur et d’établir une relation de proximité,
- Le dernier objectif est de modifier la perception du consommateur, un gage de qualité des produits et/ou des services proposés par la marque ou l’entreprise.
De quoi se compose une charte graphique ?
La charte graphique se compose de plusieurs éléments. Voici les trois éléments majeurs :
· Le logo
Le logo, également appelé logotype, est l’élément central de votre charte graphique. C’est une représentation graphique de votre marque. Il est préférable que le logo représente l’entreprise par son activité et ses valeurs, afin de renforcer l’image de marque et de favoriser sa reconnaissance.
Lorsqu’une entreprise évolue, le logo est aussi susceptible d’évoluer avec elle ; on passe alors par une refonte du logo pour maintenir une cohérence entre l’avant et l’après.
Tout comme le nom de la marque/entreprise, le logo doit être déposé auprès de l’INPI pour être protégé des éventuelles copies ou fraudes.
· La typographie
La typographie correspond à la police d’écriture. En effet, lors de la réalisation d’un support de communication, il est important d’avoir une cohérence graphique au niveau des textes. La typographie va permettre de donner le positionnement et le ton de la communication de l’entreprise, mais aussi de retranscrire ses valeurs et son activité.
· Les couleurs
Les couleurs doivent être choisies avec soin. Elles doivent aussi signifier quelque chose, refléter des valeurs ou l’activité de l’entreprise. Il est appréciable que les couleurs soient en harmonie les unes avec les autres, afin que les supports de communication soient agréables à regarder.
Le logo, la typographie et les couleurs peuvent être complétés par d’autres éléments tels que les pictogrammes, des illustrations, des photos ou des icônes par exemple.
Une fois que les éléments de la charte sont élaborés, on peut ensuite les décliner pour obtenir les différents supports de communication : signatures mails, cartes de visite, présentation PowerPoint, site web, réseaux sociaux… Ces supports font aussi partie de la charte graphique.
Comment rédiger une charte graphique ?
Rédiger une charte graphique est une étape clé dans la vie d’une entreprise. C’est pour cela qu’avant de passer à la création graphique, il faut définir sa marque, afin d’élaborer une identité cohérente.
Une identité cohérente
Créer une identité cohérente, c’est avant tout définir ses objectifs de communication. Il faut se poser les bonnes questions qui sont :
- Quels sont les messages que je souhaite véhiculer ?
- Quelle est la promesse de ma marque ?
- Quelle est sa raison d’être ?
- Quels sont mes objectifs finaux ?
Définir le logo
Votre logo doit être illustré en fonction de votre identité, c’est-à-dire de votre raison d’être et votre activité, mais pas seulement. Il faut veiller à ce qu’il soit reconnaissable, mais aussi déclinable en plusieurs couleurs, plusieurs formats et sur plusieurs types de supports.
Définir les couleurs
La sélection des couleurs se fait en fonction du logo. Il faut veiller à opter pour des couleurs qui ne s’éloignent pas trop de celle du logo, afin de créer une harmonie. Il est généralement conseillé d’en sélectionner quatre. Le choix des couleurs doit être suivi d’une argumentation, ainsi que des codes hexadécimaux, afin de faciliter le travail des graphistes.
Définir la typographie
Tout comme les couleurs, la typographie doit être en accord avec le logo et être suivie par des explications notamment sur leurs recommandations d’utilisation. Il faut veiller à utiliser la même typographie sur l’ensemble des supports que ce soit on line, c’est-à-dire sur les réseaux sociaux et le site internet ; et off line, c’est-à-dire la communication sur papier.
Les pictogrammes et les icônes
Ces deux éléments ne sont pas essentiels dans une charte graphique, mais si vous décidez de les réaliser, il faut nécessairement qu’ils soient en accord avec les couleurs, mais surtout en accord avec l’univers graphique de la marque.
Quels sont les outils pour réaliser une charte graphique ?
La création d’une charte graphique se fait à l’aide de logiciels de création graphique plus ou moins complexes.
Voici la liste d’outils gratuits avec lesquels il est possible de créer une charte graphique :
- Canva
- GIMP
- Inkscape
- Vectr
- Photopea
Pour une charte graphique professionnelle, il est recommandé de passer par une agence de communication, qui utilisera la suite Adobe (et notamment Illustrator pour le logo et InDesign pour la charte graphique) mais qui fera surtout appel au talent et à la créativité de l’équipe de directeurs artistiques et graphistes !
Quelles sont les chartes graphiques les plus populaires ?
Parmi toutes les chartes graphiques qu’il existe dans le monde, nous avons sélectionné quelques chartes graphiques ancrées dans les esprits du grand public, à travers les frontières :

Qu’est-ce qu’une URL ?
Une URL est un acronyme qui signifie en anglais Uniforme Resource Locator et en français localisateur uniforme de ressource ; il peut aussi être appelé adresse web ou lien. L’URL est une adresse unique permettant d’accéder à une ressource unique sur le web, via une chaîne de caractères. Les ressources sont diverses : cela peut être des photos, vidéos, documents HTML ou encore de la musique. On retrouve les URL en haut de la fenêtre du navigateur, dans le champ d’adresse sous forme complète ou tronquée.
De quoi est composé une URL ?
Les URL sont créées dès lors que l’on crée un site web, un blog ou un site e-commerce et leurs ressources liées. Les URL sont créées de façon spécifique et sont composées de lettres, de chiffres et de symboles. On appelle ça des caractères imprimables, ils sont régis par des règles strictes. Une URL se compose de quatre parties qui sont : le protocole, le nom de domaine du serveur, le numéro de port et le chemin et nom de la ressource. Nous allons à présent décortiquer une URL pour vous aider à mieux en comprendre la structure. Prenons par exemple, l’URL de l’article : https://www.propulse.fr/mot/URL/
Le protocole
On retrouve ici le fameux « https:// » qui correspond à la procédure permettant l’accessibilité d’un site à la plateforme de recherche mondiale. À savoir que le « s » de https, signifie que le site sur lequel vous naviguez est sécurisé. Il existe d’autres protocoles tels que :
- ftp: – Pour transférer des fichiers sur un site FTP (site qui permet de transférer des fichiers)
- mailto: – Pour envoyer des mails
- news: – Pour accéder à un forum de discussion Usenet
- file:// – Pour insérer des photos sur le web
Le nom de domaine
On retrouve www.propulse.fr , il se compose d’un préfixe qui correspond à « www. », du nom du site qui est ici « propulse » et d’une extension générique qui correspond à «.fr». Pour plus d’informations sur le nom de domaine, vous retrouverez un article complet à ce sujet.
Le numéro de port
Le port est un numéro qui n’est jamais affiché, mais il est pourtant bien présent dans votre URL. Il permet de pouvoir transmettre notre demande d’informations au serveur et ensuite de les recevoir. Le numéro de port des sites en https est le numéro 443.
Chemin complet et nom de la ressource
Dans le cadre de notre exemple, on retrouve /mot/URL/. Il permet de nous aiguiller vers la bonne page.
Comment structurer votre URL ?
Nous vous recommandons de créer des URL courtes et compréhensibles qui faciliteront la lecture aux utilisateurs du site. Nos conseils :
- Utiliser des mots simples et descriptifs
- Séparer les mots à l’aide de traits d’union (-)
- Utiliser l’encodage UTF-8 pour substituer les caractères ASCII
A éviter :
- Utiliser des caractères non ASCII tels que des émojis, des caractères chinois, hébreux, arabes ou encore des accents.
- Utiliser des traits de soulignement (_)
- Ecrire les mots les uns à la suite des autres
- De plus, il y a des caractères qui sont interdits, on retrouve :
- Les espaces
- Les voyelles accentuées
- Les signes de ponctuation tels que les guillemets, les hashtags, les points …
Ce sont ces types de caractères qui doivent être remplacés par l’encodage UTF-8. Voici la liste des caractères interdits et l’encodage qui les remplace.
| Caractère | Codage URL |
| Tabulation | %09 |
| Espace | %20 |
| ! | %21 |
| « | %22 |
| # | %23 |
| % | %25 |
| & | %26 |
| ( | %28 |
| ) | %29 |
| * | %2A |
| + | %2B |
| , | %2C |
| . | %2E |
| / | %2F |
| : | %3A |
| ; | %3B |
| < | %3C |
| = | %3D |
| > | %3E |
| ? | %3F |
| @ | %40 |
| [ | %5B |
| %5C | |
| ] | %5D |
| ^ | %5E |
| ‘ | %60 |
| { | %7B |
| | | %7C |
| } | %7D |
| ~ | %7E |
Comment optimiser votre SEO grâce à votre URL ?
Lorsque vous créez votre site internet, le moteur de recherche va référencer votre site en fonction de votre contenu, mais aussi de votre URL. Les robots des moteurs de recherche vont dans un premier temps identifier votre site. L’URL va leur permettre de repérer les pages et ensuite de les indexer. Plus votre URL sera précise, plus votre site sera mieux référencé.

Qu’est-ce que le e-commerce ?
Le e-commerce correspond au commerce sur Internet. Ce type de commerce permet l’échange de biens, de services et/ou d’informations via des sites web. On le connaît aussi sous le nom de commerce en ligne, e-shop ou e-boutique.
Le e-commerce est un site web disponible sur ordinateur, mais aussi sur téléphone mobile, ce qui lui permet d’être accessible à tous types d’utilisateurs. Disposer d’un site e-commerce permet à l’entreprise :
- De permettre un achat rapide des produits / services de sa marque de façon sécurisée
- De pouvoir dépasser une zone de chalandise locale, en nationalisant voire internationalisant son commerce
- De toucher de nouveaux types de prospects
- De convertir des visiteurs en clients de la boutique physique (ce qu’on appelle le web to store)
- De fidéliser ses clients en leur apportant une nouvelle expérience de consommation
À quand remonte le e-commerce ?
L’histoire du e-commerce connaît 6 étapes importantes allant de sa naissance en 1960 jusqu’à sa dernière évolution en 2010.
La naissance : 1960
En 1960, naît le système de transfert de données informatisé (EDI) permettant de gérer les factures et les commandes. De là voit le jour Compuserve en 1969, un site d’envoi d’e-mailing.
Le commerce électronique : 1970
Michael Aldrich met en place un système de vente à distance reliant un ordinateur à un téléviseur, permettant aux personnes d’appeler et de transférer des données de façon sécurisée.
L’essor du e-commerce : 1980
Dans les années 1980, plusieurs entreprises développent leur système de vente en ligne. Il y a notamment la société Boston Computer Exchange créée par Alexander Randall et Cameron Hall ou encore la célèbre société française Minitel.
La montée en flèche : 1990 – 2000
C’est à partir des années 90 que le e-commerce devient à la mode et que voient le jour des grandes entreprises, pure player du web, qui aujourd’hui sont toujours actives. On pense par exemple à Amazon, eBay ou encore Paypal.
Les médias sociaux : 2010
En 2010, le e-commerce prend une nouvelle direction avec les services de promotion payante permettant la sponsorisation de contenu, tel que Facebook Ads. Voient aussi le jour les nouvelles méthodes de paiement comme Google Wallet.
Comment fonctionne un site E-commerce ?
Lorsque vous cherchez à acheter sur le web, vous allez taper le nom d’un produit/service dans le moteur de recherche. À partir de là, de nombreux résultats vont ressortir, et notamment des sites e-commerces qui proposent ce dont vous avez besoin.
Une fois arrivé sur le site de votre choix, vous êtes face à une multitude de produits. La disponibilité des produits est possible grâce à la connexion du site avec sa base de données. Cette base de données permet d’afficher les différentes catégories du site, les images correspondantes au bon produit ou encore d’afficher les bonnes descriptions et les stocks disponibles.
Lorsque vous avez fait votre choix, tous vos articles sont sauvegardés dans un panier électronique. Si vous passez à l’acte d’achat, toutes les informations de paiement sont cryptées, envoyées et traitées de manière sécurisée à distance.
Une fois le paiement traité, un logiciel de commande relié à un logiciel transporteur peut vous permettre de suivre l’arrivée de votre produit.
Quelles sont les différentes formes d’E-commerce ?
En e-commerce, on retrouve deux modèles
- Selon le profil commercial
- Selon le modèle commercial
Profil commercial
- B2B : forme de commerce où les entreprises vendent aux autres entreprises. Par exemple : vente de matériaux de construction en gros.
- B2C : forme de commerce où les entreprises vendent aux particuliers. Par exemple les revendeurs en électronique comme Boulanger.
- D2C : forme de commerce où les fabricants venant directement aux particuliers. Par exemple les producteurs de fruits et légumes au marché ou encore les marques telles que Nike ou Apple
- C2B : forme de commerce où les particuliers vendant aux entreprises. Par exemple, les emplois freelances.
- C2C : forme de commerce où les particuliers vendent aux autres particuliers. La plateforme eBay ou encore le bon coin en sont de parfaits exemples.
Modèle commercial
- Une boutique en ligne avec les produits de l’entreprise : c’est la forme la plus classique du e-commerce.
- Drop shipping : lorsque vous commandez des produits sur ce type de site, ils sont envoyés par une autre entreprise.
- E-commerce d’affiliation : c’est un site qui référence des produits, mais qui ne permet pas leur achat sur la plateforme, ni l’envoi. Lorsque vous souhaitez acheter un produit, vous êtes renvoyé vers le site du fabricant.
- Adhésion : ce sont des sites qui proposent des abonnements périodiques permettant à l’acheteur de recevoir des produits régulièrement (boxs mensuelles de produits de beauté ou paniers repas hebdomadaires par exemple)
- Marketplace : c’est un site qui regroupe plusieurs boutiques et qui permet l’achat sur celui-ci.
- Servicices : ce sont des sites qui permettent de vendre des services (des formations par exemple).
Quels sont les avantages et les inconvénients du E-commerce ?
Avantages
Les sites e-commerce permettent de toucher plus de clients du fait de leur disponibilité en 24/24H et 7/7J. De plus, ils représentent un coût moins élevé qu’une boutique physique (pas de loyer, pas d’équipe de vente…). Ces facteurs combinés permettent à une entreprise se lançant dans la vente en ligne d’effectuer davantage de marge (car elle peut vendre beaucoup plus avec moins de ressources à mobiliser).
Inconvénients
Acheter sur un e-commerce n’a pas que des avantages. En effet, lorsqu’un client achète sur Internet, il peut avoir des doutes à propos de vos produits, car il ne les a pas vus en vrai, testés ou a tout simplement peur de ne jamais recevoir ses produits. La plus grande crainte des consommateurs est le piratage des données bancaires.
La vente en ligne nécessite un service après-vente structuré pour gérer les retours beaucoup plus fréquents qu’en cas d’achat en boutique mais aussi les soucis d’acheminement…
La présence sur le web vous permet de toucher plus de personnes, mais il faut également faire face à une concurrence beaucoup plus féroce. S’il est aujourd’hui à la portée de tous de créer un e-shop fonctionnel, il faut bien avoir en tête qu’un produit en ligne a des milliers voire des millions de concurrents.
Pour terminer, un e-commerce demande de la patience et de l’investissement. En effet, le web est vaste et pour devenir visible il y a de nombreuses actions à mener, telles que le référencement naturel et/ou payant, la communication on et off line…
Comment réussir son E-commerce ?
Voici quelques conseils pour vous aider à réussir :
- Analyser le marché sur lequel vous vous trouvez : concurrence, prix, démographie
- Connaître votre client cible : tout savoir de lui vous permettra d’adapter votre site
- Construire un plan marketing
- Créer une identité de marque
- Mettre en place une stratégie de contenu
- Et bien sûr ; faire appel à des experts dans le domaine du web 😊